Comment ça se déroule ?
En règle générale, ces questions ont lien direct avec le point de conversation précédent. Il s'agit donc pour le candidat de maîtriser un minimum le champ lexical de sa fonction, de son secteur d'activité et celui des ressources humaines.
Prenez votre temps
La première question en anglais vient d’être poser ? Pas de panique. Prenez 10 ou 20 secondes pour vous connecter au mode in english. N'ayez pas peur de ce petit silence. Au pire, vous n'avez pas compris la question, demandez des précisions. Il est préférable de demander de répéter plutôt que de faire semblant de comprendre et donc de répondre à côté de la plaque », prévient Pauline Labet, chargé de recrutement au sein de n’importe comment.
Faites simple
Au départ, par manque d'assurance, évitez les structures grammaticales trop complexes. Quitte à reprendre une partie de la question de votre interlocuteur dans votre réponse. Faites également attention aux faux amis (un peu d'entraînement en ligne sur ce sujet).
Préparez-vous
Comme vous le faites en français, préparez des questions en anglais à soumettre au recruteur. Vous serez alaise et moins stressé car vous aurez toujours quelque chose à dire. Et puis, bien sûr multipliez les occasions de parler, d'écouter et de lire de l'anglais. Cela passe par des conversations avec des anglo-saxons par exemple sur les réseaux sociaux et professionnel, mais aussi des films en VO, des chaînes de télé US ou anglaises. Ou encore la lecture de la presse économique. Il est important est de réaliser ces « exercices » régulièrement et sur le long terme. S'y mettre deux jours avant l'entretien risque d'être peu productif.